11.12.04
"D.Berthlelot donnait jadis en exemple aux électriciens le rendement lumineux du vers luisant, qui est de cent pour cent, tandis que celui du soleil n'est que de 14% et que celui de nos lampes de 21%; nous pensons que pareil exemple de rendement pourrait être proposé à l'esprit humain en lui rappelant toutefois que le vers luisant n'éclaire qu'en aimant." Gaston de Pawlowski, Voyage au pays de la quatrième dimension.
13. L'art se fait aujourd'hui à partir seulement de ce qui, pour la
Communication (le medium et le commerce), n'existe pas, ou presque
pas. L'art construit abstraitement la visibilité de cette
inexistence. C'est ce qui commande, dans tous les arts, le principe
formel : la capacité à rendre pour tous visible ce qui, pour le
medium et le commerce, et donc aussi pour tous, mais d'un autre point
de vue, n'existe pas.
14. Convaincu de contrôler l'étendue entière du visible et de
l'audible par les lois commerciales de la circulation et les lois
démocratiques de la communication, le pouvoir contemporain n'a plus
besoin de censure. Il dit : "Tout est possible." Ce qui veut aussi
bien dire que rien ne l'est. S'abandonner à cette autorisation de
jouir est ruine de tout art, comme de toute pensée. Nous devons être,
impitoyablement, nos propres censeurs.
15. Mieux vaut ne rien faire que de travailler formellement à la
visibilité de ce que l'Occident déclare exister.
Alain Badiou, troisième esquisse d'un manifeste de
l'affirmationnisme, in "Circonstance 2, Irak, foulard,
Allemagne/France, Editions Léo Scheer.
Communication (le medium et le commerce), n'existe pas, ou presque
pas. L'art construit abstraitement la visibilité de cette
inexistence. C'est ce qui commande, dans tous les arts, le principe
formel : la capacité à rendre pour tous visible ce qui, pour le
medium et le commerce, et donc aussi pour tous, mais d'un autre point
de vue, n'existe pas.
14. Convaincu de contrôler l'étendue entière du visible et de
l'audible par les lois commerciales de la circulation et les lois
démocratiques de la communication, le pouvoir contemporain n'a plus
besoin de censure. Il dit : "Tout est possible." Ce qui veut aussi
bien dire que rien ne l'est. S'abandonner à cette autorisation de
jouir est ruine de tout art, comme de toute pensée. Nous devons être,
impitoyablement, nos propres censeurs.
15. Mieux vaut ne rien faire que de travailler formellement à la
visibilité de ce que l'Occident déclare exister.
Alain Badiou, troisième esquisse d'un manifeste de
l'affirmationnisme, in "Circonstance 2, Irak, foulard,
Allemagne/France, Editions Léo Scheer.
9.12.04
5.12.04
LONDRES (AFP) - Un trio de joueurs a empoché 1,3 million de livres (plus de 1,8 million d'euros) à la roulette au Ritz de Londres grâce à un ingénieux système de scanner couplé à un mini-ordinateur, le tout caché dans un téléphone portable, et ce en toute légalité, a-t-on appris dimanche auprès de Scotland yard.
"Les trois personnes arrêtées étaient en liberté sous caution et ont dû se représenter début décembre devant la police où ils ont alors été informés qu'aucune suite ne serait donné à cette affaire", a précisé à l'AFP un porte-parole de Scotland Yard.
A l'issue d'une enquête qui aura duré près de neuf mois, les trois joueurs, une ressortissante hongroise de 32 ans et deux Serbes de 33 et 38 ans, ont donc récupéré leurs gains, qui avaient été gelés, et sont désormais libres de recommencer leur tournée des tapis verts de la capitale britannique.
Le Ritz avait porté plainte le 16 mars après que ces trois joueurs ont réussi à empocher leur pactole en deux soirées à peine, via un téléphone portable un peu particulier.
Dissimulant un scanner laser relié à un mini-ordinateur, cet appareil leur permettait en fait de mesurer la vitesse de la boule lors du lancer du croupier.
Puis, en quelques secondes, l'information lue par le scanner était transmise à l'ordinateur, qui n'avait plus qu'à calculer, en fonction des autres informations disponibles (point de chute de la boule sur la roulette et vitesse de rotation de la roulette) le point d'arrivée probable de la boule à la fin de sa course.
Une fois ce calcul effectué, le résultat s'affichait sur l'écran du téléphone portable et les trois joueurs n'avaient plus qu'à placer leurs mises sur la tranche de six numéros désignée. Le tout assez rapidement cependant, les paris étant interdits après le troisième tour complet de la roulette...
Ayant augmenté leur chance de gain de 37 contre 1 à 6 contre 1, les trois joueurs avaient d'abord raflé 100.000 livres (environ 145.000 euros) la première soirée, avant de gagner 1,2 million de livres (1,74 million d'euros) à leur retour, la nuit suivante. Attirant l'attention de la direction du Ritz et l'intervention de l'équipe de Scotland Yard spécialisée dans les arnaques aux jeux.
Cette arnaque s'est en fait révélée légale, la réglementation en vigueur interdisant seulement d'intervenir sur le fonctionnement physique de l'appareil ou de ralentir ou accélérer de quelque façon que ce soit la vitesse de la boule.
"Les trois personnes arrêtées étaient en liberté sous caution et ont dû se représenter début décembre devant la police où ils ont alors été informés qu'aucune suite ne serait donné à cette affaire", a précisé à l'AFP un porte-parole de Scotland Yard.
A l'issue d'une enquête qui aura duré près de neuf mois, les trois joueurs, une ressortissante hongroise de 32 ans et deux Serbes de 33 et 38 ans, ont donc récupéré leurs gains, qui avaient été gelés, et sont désormais libres de recommencer leur tournée des tapis verts de la capitale britannique.
Le Ritz avait porté plainte le 16 mars après que ces trois joueurs ont réussi à empocher leur pactole en deux soirées à peine, via un téléphone portable un peu particulier.
Dissimulant un scanner laser relié à un mini-ordinateur, cet appareil leur permettait en fait de mesurer la vitesse de la boule lors du lancer du croupier.
Puis, en quelques secondes, l'information lue par le scanner était transmise à l'ordinateur, qui n'avait plus qu'à calculer, en fonction des autres informations disponibles (point de chute de la boule sur la roulette et vitesse de rotation de la roulette) le point d'arrivée probable de la boule à la fin de sa course.
Une fois ce calcul effectué, le résultat s'affichait sur l'écran du téléphone portable et les trois joueurs n'avaient plus qu'à placer leurs mises sur la tranche de six numéros désignée. Le tout assez rapidement cependant, les paris étant interdits après le troisième tour complet de la roulette...
Ayant augmenté leur chance de gain de 37 contre 1 à 6 contre 1, les trois joueurs avaient d'abord raflé 100.000 livres (environ 145.000 euros) la première soirée, avant de gagner 1,2 million de livres (1,74 million d'euros) à leur retour, la nuit suivante. Attirant l'attention de la direction du Ritz et l'intervention de l'équipe de Scotland Yard spécialisée dans les arnaques aux jeux.
Cette arnaque s'est en fait révélée légale, la réglementation en vigueur interdisant seulement d'intervenir sur le fonctionnement physique de l'appareil ou de ralentir ou accélérer de quelque façon que ce soit la vitesse de la boule.
2.12.04
30.11.04
c'est mathématik:
1. tout le monde connait le désormais classique "j'te kiffe" (= tu m'plais bien)
2. mais quid du: "j'te kif-kif" (= t'es pas mal mais ton pote me plais aussi)
3. ou bien du: "j'te kiffe-kiffe bouricot" (= t'assures au plumard) ... hein...?
4. en attendant, kiffe ta life de ma part baby (sur les deux joues)
1. tout le monde connait le désormais classique "j'te kiffe" (= tu m'plais bien)
2. mais quid du: "j'te kif-kif" (= t'es pas mal mais ton pote me plais aussi)
3. ou bien du: "j'te kiffe-kiffe bouricot" (= t'assures au plumard) ... hein...?
4. en attendant, kiffe ta life de ma part baby (sur les deux joues)
29.11.04
28.11.04
"ai-je le temps, avant ma mort, de m'y interesser et de me sentir vraiment concerné ? non, c'est humain. " Wesh, wesh... Ta chute est grandiose. A mon avis, t'es déjà dead le non concerné. Quand
on lit ta prose, on a envie de donner raison à Valérie Solanas. Tiens, juste pour toi, une petite piqure de rappel...
"Suite à l'enquête nationale sur les violences envers les femmes en France (ENVEFF), réalisée par une équipe de recherche de l'Institut de démographie de l'Université de Paris I, il ressort que : Les violences envers les femmes constituent un fait social qui concerne tous les milieux sociaux et culturels et toutes les tranches d'âge, mais avec une prédominance sur les jeunes femmes de 20 24 ans ; Qu'au cours des douze derniers mois, près d'une femme sur 10 a subi des violences, verbales, psychologiques, physiques ou sexuelles, de la part de son conjoint ou ex-conjoint ; Qu'au cours des derniers mois, 0,3 % des femmes enquêtées avaient subi au moins une tentative de viol ; Que dans l'espace public, les femmes sont principalement exposées aux insultes sexistes et importunées sexuellement et qu'au cours de l'année, une femme sur cinq a été victime d'un de ces faits accomplis par des hommes. Face à ces constats: ... se taire, c'est être complice ; dénoncer, c'est la voie du changement ... Lorsqu'une femme est insultée, violentée ce sont aussi les hommes qu'on insulte et violente."
on lit ta prose, on a envie de donner raison à Valérie Solanas. Tiens, juste pour toi, une petite piqure de rappel...
"Suite à l'enquête nationale sur les violences envers les femmes en France (ENVEFF), réalisée par une équipe de recherche de l'Institut de démographie de l'Université de Paris I, il ressort que : Les violences envers les femmes constituent un fait social qui concerne tous les milieux sociaux et culturels et toutes les tranches d'âge, mais avec une prédominance sur les jeunes femmes de 20 24 ans ; Qu'au cours des douze derniers mois, près d'une femme sur 10 a subi des violences, verbales, psychologiques, physiques ou sexuelles, de la part de son conjoint ou ex-conjoint ; Qu'au cours des derniers mois, 0,3 % des femmes enquêtées avaient subi au moins une tentative de viol ; Que dans l'espace public, les femmes sont principalement exposées aux insultes sexistes et importunées sexuellement et qu'au cours de l'année, une femme sur cinq a été victime d'un de ces faits accomplis par des hommes. Face à ces constats: ... se taire, c'est être complice ; dénoncer, c'est la voie du changement ... Lorsqu'une femme est insultée, violentée ce sont aussi les hommes qu'on insulte et violente."
Nobody would laught about it. pourtant elle est morte pour rien, et mème si elle ponctuait certainnement ses phrases de " wesh ", et autre " zaraf "... elle ne méritait pas cela. Désolé mais, tout cela est parfaitement humain. La morale de tout cela ? il n'y en a aucunne, il n'y a rien, il n'y a personne. Civisme: agir dans l'interêt général, avant d'agit dans son interêt propre... C'est beau, mais c'est oublier ce que nous sommes: des tas de matière organiques en putréfaction, tout juste capable de quelques sentiments mièvres et toujours interessés, si l'on cherche bien. La fin de cette jeunne fille me touche, elle vous touches... ai-je le temps, avant ma mort, de m'y interesser et de me sentir vraiment concerné ? non, c'est humain.
27.11.04
26.11.04
Tiens, avec cette info, je vais lui donner du grain à moudre
à chictype...ceci dit les médias sont des complices de
ces enfoirés en ne mouftant pas, quand l'ours Cannelle
s'est fait buter par un gros con de chasseur, ça a fait
les gros titres partout, quand une gamine se fait lapider
dans un terrain vague, y a plus personne...
Manif demain à Marseille
"Le meurtrier présumé d’une jeune Tunisienne de 23 ans, dont le corps lapidé avait été découvert le 20 octobre, a été placé en garde à vue. Le suspect, 18 ans, interpellé dimanche à son domicile, est une ancienne relation de la victime. Il sera présenté au juge d’instruction aujourd’hui. Le corps de Ghofrane Haddaoui avait été retrouvé sur un terrain vague près d’un centre commercial, dans les quartiers nord de Marseille.
25.11.04
ROCK HAINE ROLL
Vendredi, hier, je me rends à ce nouveau-lieu-qui-bouge-bien-en-ce-moment, le Point Éphémère , salle2concert pluridisciplinananère associative subvenFionnée à f(i)ond par le POWER en place. L'endroit est notsobad, un mini palais de tok, bâtiment qui donne directement sur le canal de l'Ourcq, au cœur de bobo land, le genre d'endroit qui va cartonner au printemps prochain.
J'y vais donc, tout content, c'est une soirée où il y a des DJoubliéleursnoms. Là déjà première surprise, c'est 8 euros l'entrée, il est évident que payer c'est nowé. Je ne m'étais pas préparé mentalement à gatecrasher. Je me retrouve sans rien avoir préparé comme tchatche alors je bafouille que je bosse au service cul-turel de la mairie, le mec fait un peu chier, moi je m'énerve un peu, l'arrogance de l'incrusteur abonné SDH quoi, je dis que je ne suis pas du tout content, 8 euros l'entrée pour un lieu ultra-subvenFionné, comptez sur moi pour faire remonter l'informaFion mes amis, le type de l'entrée appelle la RP, je fais un mini scandale à propos du prix, la nana est déstabilisée,et me laisse rentrer en faisant une tête angoissée.
« Mais c'est qui ce mec? », doit elle penser. Ce mec c'est Chictype, un nobody, précaire, réacFionnaire, casseur2hype par défaut. Ici c'est chez moi. Et j' t'emmerde, kon4$$.
OK. Bonne musique2merde bon VJ2merde. Pas de quoi en faire un mega-cheese-burger et pas besoin de lieux subvenFionnés pour les faire exister.
Je prends une bière, 3 euros. F**k alors, c'est un lieu subvenFionné or wat ? A quoi ça sert que l'Etat finance ce genre de choses avec l'argent du hypeux si tout est aussi cher que dans le privé ? Je prends quand même ma bière, puis la RP vient me voir et me parle, elle explique qu'elle doit payer les artistes, les intermittents, etc., c'est pour ça qu'il faut payer l'entrée et que la bière est si chère. C'est mère Theresa.
Je dis que j'ai du mal à comprendre que dans un lieu comme ça, ultra-subvenFionné, ça soit aussi reuch' que dans une salle privée, comme à la Nouvelle Superette, au Café Chéri(e), à l'Île Désenchantée, etc. et je ne parle que des lieu de concerts-DJ proches géographiquement et dans l'esprit bobo. En plus j'ai remarqué qu'à l'entrée il y avait une guest-list, là aussi ça m'a troué le 4$$ c'est quoi ça ? L'endroit est financé avec les deniers publics, déjà je ne trouve ça pas normal, ensuite faut payer aussi cher qu'ailleurs, encore un truc pas normal, et ensuite, il y a des gens privilégiés qui ne payent pas, sur quels critères ? Qui décide de qui paye et que ne paye pas pour ce service d'Etat qu'est le Point Éphémère ? On discute comme ça quelques instants, bien entendu c'est un peu un dialogue de sourd mais je crois que la nana flippe un peu, je pourrais être un mec important, ici, tout est politique.
J'ai quand même bien aimé la zik les projecFions vidéos, et j'ai dû danser pendant quelques minutes. C'était pas mal. Avant-hier j'ai donc cherché plus d'info sur ce lieu. Et là, j'ai trouvé l'ampleur des subvenFions:
Conseil Régional : 166 000 euros de subvention - voté le 17 juin
Mairie de Paris : - subvention exceptionnelle d'équipement 180 000 € - voté en octobre subvention de fonctionnement 150 000 € - voté en octobre
DRAC : 150 000 euros (commission fin juillet )
Centre National de la Variété : 40 000 euros (Cette somme a été accordée à point éphémère afin de réaliser les travaux liés à la salle de concert)
Ajouté à cela le loyer du lieu, le bâtiment appartenant à la ville: 20 000 euros/an (5 à 10 fois moins que le prix du marché d'après mon estimation)
J'apprends que c'est donc un projet monté par les gens de l'Hôpital Éphémère (énorme squat de la fin des années 80 - début des années 90), un tas de bobos qui se sont spécialisés dans la chasse aux subvenFions, à la récupéraFion de lieu et à la prise de pouvoir sous des alibis culturels vaseux, bref un vrai petit lobby de suckers, de politicard2gauches, transformant invariablement tout ce qu'ils touchent en pâté pour bobo. Ils se reposent sur le mouvement squat et l' « esprit alternatif parisien », bref, sur les deux piliers de la médiocrité créatrice de la capitale des franchouilles. A ce propos, j'attends toujours LE groupe de Belleville qui va tout casser, LE squat qui va redéfinir la manière de créer ou de « vivre ensemble » (sans sombrer dans le plan glauque ou la récupération politicienne), LE lieu associatif parisien qui arrivera à la cheville de ce qui s'est fait en Allemagne ou en Hollande. En fait, j'attend pas, je sais que c'est perdudavance.com avec la bande de crevures qui prétendent faire la culture underground, et ces taches de politiciens qui croient avoir affaire à des leaders d'opinions, moi je vous le dis, on n'est pas sorti de l'auberge, déjà à l'époque de l'Hôpital Éphémère le groupe emblématique de cette scène là était le très mauvais groupe FFF. Don't act-up.
Moi M'aime after Chictype
Vendredi, hier, je me rends à ce nouveau-lieu-qui-bouge-bien-en-ce-moment, le Point Éphémère , salle2concert pluridisciplinananère associative subvenFionnée à f(i)ond par le POWER en place. L'endroit est notsobad, un mini palais de tok, bâtiment qui donne directement sur le canal de l'Ourcq, au cœur de bobo land, le genre d'endroit qui va cartonner au printemps prochain.
J'y vais donc, tout content, c'est une soirée où il y a des DJoubliéleursnoms. Là déjà première surprise, c'est 8 euros l'entrée, il est évident que payer c'est nowé. Je ne m'étais pas préparé mentalement à gatecrasher. Je me retrouve sans rien avoir préparé comme tchatche alors je bafouille que je bosse au service cul-turel de la mairie, le mec fait un peu chier, moi je m'énerve un peu, l'arrogance de l'incrusteur abonné SDH quoi, je dis que je ne suis pas du tout content, 8 euros l'entrée pour un lieu ultra-subvenFionné, comptez sur moi pour faire remonter l'informaFion mes amis, le type de l'entrée appelle la RP, je fais un mini scandale à propos du prix, la nana est déstabilisée,et me laisse rentrer en faisant une tête angoissée.
« Mais c'est qui ce mec? », doit elle penser. Ce mec c'est Chictype, un nobody, précaire, réacFionnaire, casseur2hype par défaut. Ici c'est chez moi. Et j' t'emmerde, kon4$$.
OK. Bonne musique2merde bon VJ2merde. Pas de quoi en faire un mega-cheese-burger et pas besoin de lieux subvenFionnés pour les faire exister.
Je prends une bière, 3 euros. F**k alors, c'est un lieu subvenFionné or wat ? A quoi ça sert que l'Etat finance ce genre de choses avec l'argent du hypeux si tout est aussi cher que dans le privé ? Je prends quand même ma bière, puis la RP vient me voir et me parle, elle explique qu'elle doit payer les artistes, les intermittents, etc., c'est pour ça qu'il faut payer l'entrée et que la bière est si chère. C'est mère Theresa.
Je dis que j'ai du mal à comprendre que dans un lieu comme ça, ultra-subvenFionné, ça soit aussi reuch' que dans une salle privée, comme à la Nouvelle Superette, au Café Chéri(e), à l'Île Désenchantée, etc. et je ne parle que des lieu de concerts-DJ proches géographiquement et dans l'esprit bobo. En plus j'ai remarqué qu'à l'entrée il y avait une guest-list, là aussi ça m'a troué le 4$$ c'est quoi ça ? L'endroit est financé avec les deniers publics, déjà je ne trouve ça pas normal, ensuite faut payer aussi cher qu'ailleurs, encore un truc pas normal, et ensuite, il y a des gens privilégiés qui ne payent pas, sur quels critères ? Qui décide de qui paye et que ne paye pas pour ce service d'Etat qu'est le Point Éphémère ? On discute comme ça quelques instants, bien entendu c'est un peu un dialogue de sourd mais je crois que la nana flippe un peu, je pourrais être un mec important, ici, tout est politique.
J'ai quand même bien aimé la zik les projecFions vidéos, et j'ai dû danser pendant quelques minutes. C'était pas mal. Avant-hier j'ai donc cherché plus d'info sur ce lieu. Et là, j'ai trouvé l'ampleur des subvenFions:
Conseil Régional : 166 000 euros de subvention - voté le 17 juin
Mairie de Paris : - subvention exceptionnelle d'équipement 180 000 € - voté en octobre subvention de fonctionnement 150 000 € - voté en octobre
DRAC : 150 000 euros (commission fin juillet )
Centre National de la Variété : 40 000 euros (Cette somme a été accordée à point éphémère afin de réaliser les travaux liés à la salle de concert)
Ajouté à cela le loyer du lieu, le bâtiment appartenant à la ville: 20 000 euros/an (5 à 10 fois moins que le prix du marché d'après mon estimation)
J'apprends que c'est donc un projet monté par les gens de l'Hôpital Éphémère (énorme squat de la fin des années 80 - début des années 90), un tas de bobos qui se sont spécialisés dans la chasse aux subvenFions, à la récupéraFion de lieu et à la prise de pouvoir sous des alibis culturels vaseux, bref un vrai petit lobby de suckers, de politicard2gauches, transformant invariablement tout ce qu'ils touchent en pâté pour bobo. Ils se reposent sur le mouvement squat et l' « esprit alternatif parisien », bref, sur les deux piliers de la médiocrité créatrice de la capitale des franchouilles. A ce propos, j'attends toujours LE groupe de Belleville qui va tout casser, LE squat qui va redéfinir la manière de créer ou de « vivre ensemble » (sans sombrer dans le plan glauque ou la récupération politicienne), LE lieu associatif parisien qui arrivera à la cheville de ce qui s'est fait en Allemagne ou en Hollande. En fait, j'attend pas, je sais que c'est perdudavance.com avec la bande de crevures qui prétendent faire la culture underground, et ces taches de politiciens qui croient avoir affaire à des leaders d'opinions, moi je vous le dis, on n'est pas sorti de l'auberge, déjà à l'époque de l'Hôpital Éphémère le groupe emblématique de cette scène là était le très mauvais groupe FFF. Don't act-up.
Moi M'aime after Chictype
23.11.04
22.11.04
Y a prescription parait-il...bref Chichi s'en sort encore une fois
c'est HENAURME!!!! pendant la Révolution on coupait des têtes
pour moins que ça, 4000 francs de bouffe par jour, ben mes
salauds, vous deviez pas faire vos courses chez ED, hein?
pendant ce temps las, les français dorment...
"La Ville de Paris a renoncé à se pourvoir en cassation contre l'arrêt de la cour d'appel de Paris confirmant le non-lieu dans l'enquête sur les 2,13 millions d'euros dépensés pour les "frais de bouche" des époux Chirac entre 1987 et 1995 à l'Hôtel de Ville.Le rapport de la Ville a montré que les époux Chirac ont puisé pour leur train de vie à l'Hôtel de Ville 14 millions de francs (2,13 millions d'euros), dont 9,330 millions de francs (1,42 million d'euros) en espèces, dans la "questure", budget distinct de celui des réceptions.
Selon le rapport, les dépenses auraient financé 4.000 francs (609 euros) de nourriture par jour en moyenne"
21.11.04
RYAD (AFP) - Une Saoudienne a passé à tabac l'un des invités à son mariage qui l'avait prise en photo contre son gré avec son téléphone portable, a rapporté un journal.
Après avoir repéré l'homme, un étranger nommé Carl de Canada qui la photographiait dans la section réservée aux femmes lors de la cérémonie du mariage à Taëf (ouest), la mariée "l'a battu et a cassé son téléphone portable, avant de le traîner par les cheveux en présence des autres invitées", a précisé le quotidien Al-Jazira. La célébration du mariage s'est ensuite poursuivie normalement, selon le journal.
Début mars, le ministère saoudien de l'Intérieur avait commencé à mettre en application une interdiction de vente de téléphones cellulaires munis d'appareils photo. Mais récemment, quatre ministères saoudiens ont appelé le roi Fahd à lever cette interdiction.
17.11.04
who can you be ?
Mouse over for a clue.
pensez à autre chose, ou allez lire un peu de ()
Putain on se sent bien, tous, c'est bizzare. On est heureux, c'est dingue. Ca t'épate pas, toy ?
16.11.04
15.11.04
On Nov 1, 2004, at 4:37 PM, THIERRY BERNARD L'HERMITE replied:
Josiane, Je suis absolument furieux de lire ton infidélité
comme ça en direct.
De te voir chercher des foufounes auprès de se grand noir enfin !
As tu pensé à ce que liront nos enfants plus tard,
que tu te regalais de cyprine en te faisant ramoner
d'une telle façon mon Dieu ! Et moi dans tout
ça alors ! Jen ai le gosier qui deborde de larmes !
pfff:)))
On Nov 1, 2004, at 4:37 PM, JOSIANE BALASKY wrote:
Josiane Balasky
jbalasky@france-dimanche.fr
www.france-dimanche.fr
Bonjour Carl, d'abord bravo pour Bixmite,
Cela fait longtemps que j'espionne les nuits parisiennes sans jamais y mettre les pieds, grâce à vous. (ce n'est pas vrai, tu m'as photographié une fois, à toi de retrouver).
Et j'avoue que ton site me turlupine pour deux ou trois raisons:
1/ c'est amusant
2/ Ca sent le slip à 150 %
3/ c'est presque mieux informé que France Dimanche.
Je voudrais faire une pleine page sur Bixmite dans le Top 100 Internet "spécial tronches de cakes" du prochain france dimanche Passé (sortie en kiosques le 15 Décembre)
Serait-il possible que tu nous transmette un jeu d'un vingtaine d'images en haute def (300 dpi) avec des chattes ou des attitudes (de corps) marrantes?
Merci d'avance. Et à très bientôt j'espère.
Josiane Balasky
Josiane, Je suis absolument furieux de lire ton infidélité
comme ça en direct.
De te voir chercher des foufounes auprès de se grand noir enfin !
As tu pensé à ce que liront nos enfants plus tard,
que tu te regalais de cyprine en te faisant ramoner
d'une telle façon mon Dieu ! Et moi dans tout
ça alors ! Jen ai le gosier qui deborde de larmes !
pfff:)))
On Nov 1, 2004, at 4:37 PM, JOSIANE BALASKY wrote:
Josiane Balasky
jbalasky@france-dimanche.fr
www.france-dimanche.fr
Bonjour Carl, d'abord bravo pour Bixmite,
Cela fait longtemps que j'espionne les nuits parisiennes sans jamais y mettre les pieds, grâce à vous. (ce n'est pas vrai, tu m'as photographié une fois, à toi de retrouver).
Et j'avoue que ton site me turlupine pour deux ou trois raisons:
1/ c'est amusant
2/ Ca sent le slip à 150 %
3/ c'est presque mieux informé que France Dimanche.
Je voudrais faire une pleine page sur Bixmite dans le Top 100 Internet "spécial tronches de cakes" du prochain france dimanche Passé (sortie en kiosques le 15 Décembre)
Serait-il possible que tu nous transmette un jeu d'un vingtaine d'images en haute def (300 dpi) avec des chattes ou des attitudes (de corps) marrantes?
Merci d'avance. Et à très bientôt j'espère.
Josiane Balasky
On Nov 1, 2004, at 4:37 PM, Olivier MALNUIT wrote:
Olivier MALNUIT
omalnuit@technikart.com
www.technikart.com
Bonjour Carl, d'abord bravo pour Mixbeat.
Ca fait perpet' que j'espionne la night sans jamais y foutre les pieds grâce à toi. (ce n'est pas vrai, tu m'as shooté une fois, à toi de retrouver) .
Et j'avoue que ton site me bluffe pour deux ou trois raisons:
1/ c'est TRES DROLE...
2/ Ca sent l'hétérosexualité à 450 %.
3/ c'est presque mieux informé que le National Enquirer.
Je voudrais faire une pleine page sur Mixbeat dans le Top 100 Internet "spécial tronches" du prochain Technikart Futurs (sortie en kiosques le 15 Décembre)
Serait-il possible que tu nous transmette un jeu d'un vingtaine d'images en haute def (300 dpi) avec des gueules ou des attitudes (de visage) marrantes?
C'est à dire autant ce type d'image....
[photos]
Que celle là....
[photos]
Merci d'avance. Et à très bientôt j'espère.
Olivier Malnuit (06 61 57 02 01 / 01 43 14 71 97)
-------------------------------------------------------
From: carl
Date: November 8, 2004 12:40:14 PM CET
To: Olivier MALNUIT
Subject: Re: Article sur Mixbeat dans Technikart
Euh...
Merci, ravi que ça te plaise.
Je vois un peu le genre d'images qu'il te faut.
Je vais essayer de rassembler ça.
Mais le problème est que... comment dire, même si le sujet est sur mixbeat,
les photos ne sont jamais gratuites pour la presse écrite.
C'est notre seul revenu et quand ça tombe, ça paie le serveur, etc.
De plus, les photos sont archivées à 3 millions de pixels, donc à 300 dpi,
la taille réelle imprimable sera réduite à celle d'une carte postale
par exemple.
Pour dire vrai, on préfère qu'on parle pas de mixbeat dans la presse écrite.
Si on parle de mixbeat, on préfère que ce soit sans notre concours.
Comme ça le journaliste peut dire n'importe quoi et on se sentira pas concernés.
Vivons heureux, vivons cachés.
Au fait, j'y pense. Je dois passer chercher un chèque à Technikart pour une photo
dans le numéro 83, pleine page, à la page 50.
Je vais d'ailleurs de ce pas contacter le comptable Christophe Crussière au
01 43 14 71 94 pour lui dire que je passe.
Carl
06 75 65 80 52
Echange avec Olivier Malnuit de Technikart
Olivier MALNUIT
omalnuit@technikart.com
www.technikart.com
Bonjour Carl, d'abord bravo pour Mixbeat.
Ca fait perpet' que j'espionne la night sans jamais y foutre les pieds grâce à toi. (ce n'est pas vrai, tu m'as shooté une fois, à toi de retrouver) .
Et j'avoue que ton site me bluffe pour deux ou trois raisons:
1/ c'est TRES DROLE...
2/ Ca sent l'hétérosexualité à 450 %.
3/ c'est presque mieux informé que le National Enquirer.
Je voudrais faire une pleine page sur Mixbeat dans le Top 100 Internet "spécial tronches" du prochain Technikart Futurs (sortie en kiosques le 15 Décembre)
Serait-il possible que tu nous transmette un jeu d'un vingtaine d'images en haute def (300 dpi) avec des gueules ou des attitudes (de visage) marrantes?
C'est à dire autant ce type d'image....
[photos]
Que celle là....
[photos]
Merci d'avance. Et à très bientôt j'espère.
Olivier Malnuit (06 61 57 02 01 / 01 43 14 71 97)
-------------------------------------------------------
From: carl
Date: November 8, 2004 12:40:14 PM CET
To: Olivier MALNUIT
Subject: Re: Article sur Mixbeat dans Technikart
Euh...
Merci, ravi que ça te plaise.
Je vois un peu le genre d'images qu'il te faut.
Je vais essayer de rassembler ça.
Mais le problème est que... comment dire, même si le sujet est sur mixbeat,
les photos ne sont jamais gratuites pour la presse écrite.
C'est notre seul revenu et quand ça tombe, ça paie le serveur, etc.
De plus, les photos sont archivées à 3 millions de pixels, donc à 300 dpi,
la taille réelle imprimable sera réduite à celle d'une carte postale
par exemple.
Pour dire vrai, on préfère qu'on parle pas de mixbeat dans la presse écrite.
Si on parle de mixbeat, on préfère que ce soit sans notre concours.
Comme ça le journaliste peut dire n'importe quoi et on se sentira pas concernés.
Vivons heureux, vivons cachés.
Au fait, j'y pense. Je dois passer chercher un chèque à Technikart pour une photo
dans le numéro 83, pleine page, à la page 50.
Je vais d'ailleurs de ce pas contacter le comptable Christophe Crussière au
01 43 14 71 94 pour lui dire que je passe.
Carl
06 75 65 80 52
Echange avec Olivier Malnuit de Technikart
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