Mercredi dernier.
Presse dans l'Obscüre Alsace : "ALTKIRCH Soirée d'ouverture du KKO festival.
Des tripes, du cœur, des maux dits…
La soirée d'ouverture du festival s'est déroulée mercredi soir dans une atmosphère cataclysmique. Ce premier rendez-vous avec l'Histoire, sous l'Arche décorée à la manière d'un cabaret, a rencontré son
public.
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Presse dans l'Obscüre Alsace : "ALTKIRCH Soirée d'ouverture du KKO festival.
Des tripes, du cœur, des maux dits…
La soirée d'ouverture du festival s'est déroulée mercredi soir dans une atmosphère cataclysmique. Ce premier rendez-vous avec l'Histoire, sous l'Arche décorée à la manière d'un cabaret, a rencontré son
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"(...) L'honneur de l'ouverture revint au parrain, Thierry Théolier. Il procède à sa lecture performée, c'est-à-dire une mise en scène de mots à maux, sur un fond musical qui adoucit le texte. « Provocation ! », pense-t-on hâtivement. Les deux autres lectures démentiront cette impression nauséeuse du départ. Le comédien terminera ses apparitions iconoclastes sur un texte beau, profond, un hymne à l'Amour. Thierry Théolier, ce « crevard », terme qu'il se colle à la peau n'est pas l'homme des abus sociaux. Juste l'homme des désabusés sociaux. Ce nouveau Roi d'Argot pique dans le registre du vocabulaire populaire, reprit,sous couvert intime par la classe bourgeoise retenue par l'éducation bon teint, bon profil. L'anonymat respecte les canons du savoir-vivre. Théolier enfonce le clou de l'hypocrisie en des termes les plus abrupts, les plus osés. Il clame artistiquement le mal-être de l'humanité dirigée vers le vide spirituel « la vie physique est plus forte que la vie mentale ». Mais ce final sur l'Amour décliné en conjugaison d'adjectifs accolés, remit au centre du combat ce qui rend beau les hommes dans ce qu'ils ont de plus humain"
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http://arphotos.dna.fr/pdf/2012/2012.0413/36-85505048495654485457565454501225166.pdf
