POST-REPORT DU TH
Vous allez rire, nan je sais... vous faites la gueule c'est la rentrée2merde... mais Xavier Fayet l'attaché de presse de L'ÉTRANGE FESTIVAL (18 ans d'existence quand même...) ressemble grave à La Tarantine (en mini c trop mimi avec je ne sais quoi de Régis Clinquart et de très loin au pubard rédactionnel pour la littérature de gare Fredo Beigbedouille et dans un accès de délirium très mince, je lui ai balancé le plateau de petits fours dans la gueule à l'attaché de presse en criant : "va te retro nihilos sata-ananas!" (hoax) et relizez mon texte sur le Glorieux batard (j'ai reçu un mail de remerciements). Allez vive Maurice et son poing face aux suckers... Rappellez-vous quand le Festival de Cannes n'était pas totalement LA FOIRE A LA HYPE.message perso : "ça va Nathalie ? Rahhhhhhh mais pourquoi tu ne balances pas sur Nettime en même temps avec ton annonce le Jour J. du Festival que c'était la soirée d'ouverture hier à 21 h 30 pétantes au lieu de me trasher mes deux messages un peu bordeline ... bouh.... faut être political correct alors dans l'activisme mondain ? Hé chéri tu connais l'expression FUCK OFF ? Ben wé...
Donc mon hoax (évidemment que je n'ai rien balancé trop heureux d'avoir mon accreditation pour le Festival du weird), c'était hier soir à la maison des métallos : soirée d'ouverture avec OB champ', traiteur pas étrange du tout - tant mieux nardine/ j'en ai marre des Kandinsky du petit four nan mais vive les naturalistes qui nous pondent des mini pizzas à la truffe fondante ! Wé wé soirée d'ouverture... P'tain mais la rétenfion d'infos de soirées d'ouverture est un sport de combat dans les réseaux mondains...
RAPPEL : "Avoir la bonne information au bon endroit peut vraiment changer votre vie“ Steward Brand, MIT, 1984, devant la première conférence de hackers"
Hier on y a rencontré des gens intéressants non ? Comme Jean-François Sanz tiens que je t'ai re-présenté Ma Grande, tu ne l'avais pas vu depuis 10 ans... Le Magasin, Grenoble, les Yes Men tout çà... Hein ? hé et la prochaine fois, ne me renie pas en pleine discussion avec mon pote (t'as même pas idée à quel degré on est pote...) sinon je vais vraiment péter les plombs et quand le TH pète les plombs, la Ville est en mode BLACK OUT
"... deranged killers on the loose..." (1978 le film...)
donc hier SOIREE D'OUVERTURE à la maison des métallos et je n'étais pas au courant - donc tout le monde n'était pas au courant - mais je me demmerde pour vous avec les moyens Debord que je me suis forgé myself & I et que je fais le boulot que Personne ne fait à PARIS (grosse ville2merde2grosuckers sans cœur) et en mode ASSEDIC SVP... et j'ai donc pu tailler la bavette avec Vincent Ravalec (Cantique de la Racaille / Prix de Flore quand c'était encore le prix de Flore....500 ans avant JC), bu des coupes avec Virgile Escan "le fabricant de films de monstres et de filles terroristes, journaliste pour Voxpop, chroniqueur pour Vice, chef de rubrique c/o Geek, video slack..." dont j'ai découvert il y a longtemps l'excellent crackwhore man (il m'avait envoyé le DVD et un texte incroyable sur nos obsessions respectives...)
Bon revenons à nos moutons...
Aujourd'hui en présence de UWE BOWL
Uwe Boll - 1994 - Allemagne - Horreur - Première française
Production : Uwe Boll
Scénario : Uwe Boll
Musique : Uwe Boll
Avec : Martin Armknecht, Christian Kahrmann, Susanne Leutenegger, Michael Rasmussen
Durée : 1h05
Site internet
Bande-annonce
Couleur - VOSTFCe métrage est diffusé dans le cadre de la thématique
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Diffusion le samedi 5 septembre 2009 à 17H00 en salle 100
en présence du réalisateur Uwe Boll
L'histoire :
Un homme isolé du monde épuise son quotidien en travaillant le jour comme serveur et en passant son temps libre le soir devant l’émission Les visages de la mort et quelques films pornographiques. C’est son seul moyen d’évasion et de pouvoir. Intérieurement, la crise de nerfs guette. Un jour, il pète les plombs, tue sa voisine avec un couteau et commence un massacre d’une sauvagerie inouïe.
Les années avant les adaptations de jeux vidéo, Uwe Boll réalisait cette œuvre de jeunesse en pleine période de cinéma amateur allemand, sur un sujet proche du Chute libre de Joël Schumacher (1993). Depuis, AmokLauf est considéré comme un film culte outre-Rhin en raison de sa violence et de son nihilisme.
UWE BOLL : « Le titre signifie “Cours, Amok” en allemand. C’était le film où je croyais que je ne ferai plus rien après – donc, c’était mon adieu. Les derniers jours dans la vie d’un tueur en série. »
http://www.etrangefestival.com/EF2009/theme.php?theme=10
5.9.09
aujourd'hui UWE BOWLà l'ETRANGE FESTIVAL + POST REPORT
