qui entarte la Belgique à la mode
et coupe la tête au folkloriquement correct ! »
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104 artistes et 137 œuvres dans :
Affiche : Hélène Taquet
Prévernissage jeudi 5 février à 12h30, à Bruxelles, place Sainte-Catherine :
Croix-Rouge et casques bleus, une performance guerrière de Francis Castanier & Mohamed El Marcouchi
« Nous ne sommes pas en Irlande et, en Belgique, la salive coule mais pas le sang. » Ainsi résumait très bien, en 2007, l’ancien premier ministre belge Mark Eyskens un incontestable motif de fierté nationale (même s’il oubliait Jacques Georgin, militant FDF victime en 1970 de membres du Vlaamse Militante Orde.) Il est temps d’y mettre un point final, de ravaler la Belgique au rang des Balkans, de verser la première goutte de sang belgo-linguistique.
Vernissage jeudi 5 février à partir de 18h, à la Centrale électrique (coin place Sainte-Catherine et rue Melsens) :
La Belgique, terre de cruauté météorologique, une performance scientifique de Alexandre Wajnberg
Ou il apparaît que la Belgique est condamnée à être délavée par de récurrentes averses.
Live scratching in Babelgium, une performance plastico-musicale de Serge Goldwicht & Cédric Stevens
Peindre le drapeau belge et le gratter en musique comme l'ultime fanfare. Pénétrer sous les couches de noir-jaune-rouge et, griffure après griffure, en découvrir les dessins enfouis par des siècles de bonnes conduites. Sous les sons de Cédric Stevens, Serge Goldwicht déconstruit picturalement notre non-identité.
0,09 seconde, une performance républicaine de Laurent d’Ursel
La chute de la lame, ou la plus courte performance de l’histoire de l’art contemporain bruxellois francophone partiellement subsidié.
Entartons la Belgique !, une performance pâtissière de Noël Godin & Sihame Fattah
Pour la première fois, le fameux entarteur ne cible pas la tronche d’un « fameux cornichon qui se la pète » mais d’un « pays qui devient à la mode ».
Commissaire : Laurent d’Ursel
Avec l’aide de :
et de généreux mécènes.
Pour sortir du carnet d’adresses de Laurent d’Ursel,
il suffit de renvoyer ce mail avec la mention “Assez!”.
Pour y trouver refuge, la mention “Encore!” fait l’affaire.
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