Va sur BLOGGER. Voilà les codes | utilisateur = blackblog03@gmail.com | le mot de passe = black021268 | et blog le Meilleur du Pire et Vice-Versace. NB les codes ont été hacké.


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8.7.08

Hello les coquins (le pire du meilleur ?)


La Black se relève et me contourne, c'est maintenant moi qui a le torse appuyé sur la table. Je sens quatre mains s'occuper de mon derrière et de mes seins. La Black s'est placée derrière moi, comme le ferait un homme, feignant de me baiser tandis que la blonde s'est glissée sous moi pour me lécher.Elle s'y connaît en orgasme féminin car elle fait absolument tout ce qui me rend folle. Elle fait passer ses doigts dans ma chatte tout en la léchant de manière désespérée, en prenant aussi bien soin de me procurer une douce chaleur grâce à son souffle. Mais ce qui me rend dingue au plus haut point, c'est quand elle écarte les grosses lèvres de ma vulve avec ses doigts, qu'elle passe sa langue dans mon trou de balle et qu'elle donne de petits coups de langue sur mon périnée. Toutes ses sensations me font perdre la tête, d'autant plus que la Black ne cesse de faire aller et venir mon bassin contre son pubis pour faire en sorte que la langue de la blonde parcoure la superficie totale de ma chatte trempée de salive et de mouille. Lorsque j'émerge enfin de ma léthargie si enivrante, je remarque pour la première fois que de petits groupes de deux ou trois femmes se sont naturellement formés autour de nous. Je peux voir une superbe blonde rouler un palot et doigter la moule épilée d'une rousse. Je peux aussi me délecter de la lubricité extrême d'un groupe de trois nanas qui s'occupent d'une fille aux longs cheveux châtains, avec tout ce qui peut servir à provoquer un orgasme. Elle est assise sur une chaise, les jambes largement écartées et déposées sur deux chaises, que ses copines ont disposées de part et d'autre de son corps à la peau mate, elle roule la bille d'une noiraude appétissante qui lui fait pomper avec amusement le goulot d'une bouteille de vin tandis qu'une rousse a érigé un doigt sous son oeillet pour qu'elle s'y empale. Entre ses cuisses étroites se trouve la rousse du bar, dont je n'ai jusqu'à présent guère remarqué la proximité. Elle se régale de la moule de l'autre rousse qui pousse maintenant des petits cris saccadés. Pendant ce temps mes deux coquines dévouées continuent de me procurer du plaisir avec les coups de langue de la première et les coups de reins de la seconde. Lorsque la rousse détourne subitement la tête du goulot, qu'elle n'a pourtant pas lâché une seule seconde depuis le début de leurs réjouissances saphiques, mon excitation atteint des sommets !
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