“J’écris ce livre pour me faire virer”, souffle Octave Parangon à son auteur, première ligne premier paragraphe de 99 francs. Nous sommes alors en 2000, et Beigbeder ne porte pas encore la barbe, Wizman ne cachetonne pas encore plusieurs milliers d’euros le DjSet, Baer pas encore devenu la caution cinématographique qui pourrait donner envie aux publicitaires de lui faire bouffer des yaourts pour la ménagère en prime.
“J’écris ce livre pour me faire débrancher” lui répond Sagnard, dans son pavé qui sort ces jours-ci, qui fustige ces mêmes branchés sur la chaise électrique. Quelques tentatives de procès plus loin, alors que le recueil anti-fashionista fait grand bruit dans le tout-petit-Paris, que reste-t-il foncièrement des branchés, de leurs quêtes initiales, de leurs rêves et leurs méthodes de survie ?
LA SUITE SUR GONZAÏ !!!!
“J’écris ce livre pour me faire débrancher” lui répond Sagnard, dans son pavé qui sort ces jours-ci, qui fustige ces mêmes branchés sur la chaise électrique. Quelques tentatives de procès plus loin, alors que le recueil anti-fashionista fait grand bruit dans le tout-petit-Paris, que reste-t-il foncièrement des branchés, de leurs quêtes initiales, de leurs rêves et leurs méthodes de survie ?
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