Si je m’aventurais (à nouveau) à mythifier, j’augurerais probablement cette marche pour mises en bière sur fond de Requiem.
Par une conne / à un con / avec l’aide d’un « connard ».
Quand je baise pas, je sublime. Ca me dépasse.
Connerie de moment propice.
Les nanas, vous les collez dans un palais, elles se mettent à rêvassez aux contes de fées en moins de deux. Immanquablement, après le l’oubliable gatecrash au grand-Palais-c’est-pas-LE-Palace, j’ai retrouvé au Marais mon marasme intérieur d’ennui et cette démence d’orgueil qui me fait haleter après la chimère comme me souffle Gustave.
La nostalgie de la nostalgie, quoi. Tu la connais, camarade.
D’ailleurs, on a tous rendez-vous Rue Quincampoix pour la célébrer le lendemain.
Moderne, ça veut bien dire qu’on est plus contemporain ?
J’y vais à l’ancienne, en arrosant mon estomac qui porte cette petite graine de querelle.
La pompe a fait du beau boulot. Et le mausolée désemplit pas de veuves joyeuses -et de noires- venues jeter une poignée de terre. Les cendres sont chaudes, ça plait toujours aux animaux de sang froid. Et ça varie un peu la faune.
Fameux les morts dans leur cercueil de verres. Et puis, y’a aussi des fantômes. Payes ton enterrement de feuilles mortes.
C’est pas pour cracher sur les tombes ou dans la soupe, m’enfin, tout ce qui est ici est en effet tombé.
Aux restes, quand ce n'est pas drôle, c’est toujours beau une chute.
Question de point de vue.
Comme a dit un brillant Charlot : le Tragique, c’est du Comique vu de près.
Comme je me sens qui balance vers le TransGenre, je contiens cette foutue tentation de ralentir pour mater le bord de l’autoroute et je bascule fissa vers le Wild Side.
Je prends quand même le temps de présenter mes respects et condoléances à Yves Adrien qui – c’est pas NöVö – n’oublie jamais sa chapska, une date ou un prénom.
Accessoirement, j’étais un peu venue aussi pour chercher le garçon plutôt que la Factory dont on ressort Superstar.
Bon, il est pas chez Régine non plus. J’enjambe dare-dare l’apéritif-hommage pour l’Happy Hour.
Avant le prochain Bains de foule, je me prépare un drame pour cuitard au Rosso. Loïc a la main sur la stéréo et l’autre sur le comptoir. On siffle quelques airs mais surtout des cocktails.
Assez du moins pour que je galère à retrouver la voie des Douches – et des latrines ;
je baptise dorée facile 3 halls en chemin –
où je dois plus avoir nightclubbé depuis mes 14 ans.
Fallait que je ne sois déjà plus très saine (d’esprit) pour passer aux ablutions.
A la cave, je me risque au corps de garde de l’espace VIPère. Je croise un cancer et un parasite mais ça ne m’empêche pas de m’inoculer.
A croire feu mon grand Non-Amour, mine de rien, je suis fatale.
Je m’infiltre par une plaie ouverte et je vais un peu me lover au Crevard. Il risque rien, il est à jour dans ses vaccins.
A force de piquer les white flash d’Eudeline, je chope un peu la fièvre et je me sens bien KreuvardE.
Le CLASH à suivre me sera relatée le lendemain alors que j’ai renoncé à découvrir d’où viennent les meurtrissures dont je suis affectée.
Le profanateur serait le cerbère enragé de l’entrée. Je traite sa bouffissure de CONNARD. Pour m’apprendre à être infecte, il m’administre un remède spécial.
C’est pas pire (et ça vaut mieux) qu’une rechute pour mon ange déchu qui laisse sa Tainted Love toujours so BrOKeN…
Dans les hauteurs, on n’en finit jamais de mourir d’ennui.
Paca est mort, vive Pacadis en enfer !
Peut-être que si je vais y croupir chaudement pour outrage et orgueil, je me ravirais à la relâche une causette post-mortem.
Va sur BLOGGER. Voilà les codes | utilisateur = blackblog03@gmail.com | le mot de passe = black021268 | et blog le Meilleur du Pire et Vice-Versace. NB les codes ont été hacké.
