Après vingt ans de dure lutte judiciaire, Nathalie Ménigon, ventouse à glaviots de la SARL Action Directe, bénéficie enfin d'une semi-liberté bien méritée.
Nathalie, en effet, purgeait une peine pour avoir, au cours d'une partouze, noyé le PDG de Total Fina avec ses pertes blanches.
La semi-liberté consiste, pour cette ennemie du Capital, la Ingrid Betancourt du pauvre, à travailler à l'entretien des rond-points le jour et à retourner en prison la nuit pour y prendre ses médicaments et se faire mettre son petit copup dans le cul par la grosse Bertha et son gode-ceinture qui crache du lait.
Moralité : Jean-Marc Rouillan et Nathalie dérouille.