Baudelaire censuré ? On ne va pas pleurer pour un poète qui est dans l'anthologie de la poésie française de George Pompidou, d'un poète qui a fait l'objet d'une biographie de Jean François Kahn... Sans compter qu'il est étudié comme un verrat dans les écoles, et qu'il trône en bonne place dans les salons bourgeois, chez ceux là même qui le montraient du doigt il y a une centaine d'années. Un homme qui est partout, du rond point au square... il en restera toujours un pour nous assener son Baudelaire, même des époux à la con.
La meilleure chose que l'on puisse rendre à Baudelaire, c'est de le censurer, de le rendre infréquentable, de salir son nom dans le vomi et le stupre, de barbouiller son buste d'excréments et de hashish, de vouer ses poésie aux flammes de la damnation éternelle. Il faut interdire Baudelaire, rayer son nom du petit Robert, exiler ses biographes... Et hurler ses poésies dans le trou noir de l'oblivion.
La meilleure chose que l'on puisse rendre à Baudelaire, c'est de le censurer, de le rendre infréquentable, de salir son nom dans le vomi et le stupre, de barbouiller son buste d'excréments et de hashish, de vouer ses poésie aux flammes de la damnation éternelle. Il faut interdire Baudelaire, rayer son nom du petit Robert, exiler ses biographes... Et hurler ses poésies dans le trou noir de l'oblivion.
L'activiste à la grenade