L'agence2com2merde balance la première photo de Karl Lagerfield lors de son apparition totémique à 1H20 du matin lors de la soirée de lancement de la ligne 'K' chez BETC, rue du Faubourg Saint Martin. Nous vous annonçons en outre la publication prochaine d'une étude entomologique sur Karl Lagerfield. Vogue USA, sera le premier magazine autorisé à publier l'étude.
Le "Groupe K" ( étude de la hype dans son milieu naturel)
Extrait du projet :
"Chaque année, en Europe, près de la moitié de la population habitant les mégapoles urbaines souffre de la Hypunculose de Lagerfield (ver de Hype). La maladie s'attaque d'abord à la population de jeunes adultes inactifs et ses conséquences socio-économiques sont énormes. L'objet du projet est de déterminer, par une enquête épidémiologique et une étude entomologique des vecteurs de la maladie, la prévalence aussi bien que l'incidence de cette maladie en Europe occidentale. De plus, comme la consommation de Champagne est à l'origine de la maladie, des sociologues étudieront les usages entourant la consommation d'alcool et le degré de connaissances de la population au sujet de la façon dont se transmettent les maladies opportunistes comme l'encéphalite spongiforme hypeuse qui est liée à un microorganisme plus petit que les virus, plus élémentaire, et classé dans la catégorie des prions. On retrouve ce prion chez l'homme dans certains cas de maladie de Creutzfeld-Jakob. L'hypothèse actuelle est que ces cas seraient liés un facteur sociologique comme la surconsommation de publicité et de magazines féminins. L'incubation, c'est à dire la période avant que la maladie apparaisse, peut être de plusieurs mois à plusieurs années. Elle touche indifféremment l'homme ou la femme.
Dans les deux tiers des cas, les troubles constatés sont des altérations du jugement, de la mémoire, des fonctions supérieures de la pensée critique. La détérioration est sévère, touchant aussi bien le comportement de la personne que le langage. Dans un tiers des cas, le patient présente des troubles de l'équilibre, à type d'ébriété. Il présente des mouvements anormaux incontrôlables, des microcontractures musculaires visibles superficiellement. Elle peut présenter également des crises d'épilepsie sur les dancefloors et une attirance hypnotique pour les lumières vives. L'évolution se fait vers l'aggravation et vers la mort sans rémission. (...)"
