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19.11.06

NOTE BIOGRAPHIQUE /SERVICE INFORMATION SDH


Jean-François Gallotte aka « Pascal » aka "David Grosexe"
Né le 18 November 1953, Paris, France père de l’actrice Charlotte Sohm

Apparaît dans un téléfilm avec Jean Pierre Castaldi en 2006 : Capitaine Casta: Amélie a disparu, sur un scénario de claude zidi. Ça, c’est de l’avant garde… Un court métrage « la terre ferme » dans lequel il joue en 2006 est désigné dans le site UniFrance comme 100% français. Xénophobe Gallotte ? Vous le découvrirez aussi dans les Rivières pourpres II - Les anges de l'apocalypse, (2004) en directeur de supermarché… C’est une production Europa Corp. Une merde. Monsieur Gallotte ne travaille pas que pour le cinéma indépendant… Toutes les multinationales sont bonnes à prendre…
Le plus drôle est la carrière de réalisateur de Galotte. Ainsi « Carbone 14, le film » (1983) avec Jean Yves Lafesse . Pour les jeunes âmes, sachez que la radio Carbonne 14 était une radio libre des année 1980 (l’ancêtre de la radio Skyrock) dans laquelle officiait « David Grosexe qui n'était autre que Jean-François Gallotte... (pas DDLF comme des mauvaises langues l'affirment) Le premier film de papa Gayotte est Point final à la ligne (1981) avec sa fillote Charlotte Sohm. Voilà donc un homme qui commence sa vie par la fin…Son dernier film « Débranche le fer César » tourné en 1999 dure 11 minutes. Avec Irène Sohm. Remarquez que le prénom à changé… En 1996, son film Igor durait 53 minutes.
Inutile de se le cacher, l’homme est une avant garde à lui tout seul… Un troisième couteau du second rôle franchouillard et un réalisateur « minimum ». Son agent est Martine Meynial. Il est représenté par Cinéart..
Gallotte est au cinéma ce que Jean Marie Le Pen est à la politique : une curiosité. Le désir du vieux 68-tard de revenir…de s’accrocher comme un morpion… le film Insurrection / résurrection (2004) dont le titre significatif et l’affiche (ci dessus), un programme à elle toute seule. Jugez sur pièce ce salmigondis de gauchisme, de passéisme et de politiquement correct avec un zeste de ressentiment baveux :

Histoire : A la suite d'une émission télévisée, une femme aubergiste, le directeur d'une agence de communication, une femme anorexique et un groupe de militants autonomes rejoignent la lutte solitaire d'Eric. Ce dernier s'oppose au percement d'un tunnel qui symbolise à ses yeux la course folle et inutile d'un progrès niant la dimension spirituelle de la destinée humaine.

La communauté ainsi formée se déchire dans d'interminables querelles intestines qui mêlent l'affectif et le politique. La renaissance succède à la chute. L'échec laissera-t-il la place aux regards, à l'amour et à la paix ?


Pour son « animosité » à l’egard de notre bien aimé TH nanar addict, sachez que le phénomène à effectivement joué dans un film (porno) gore français en 1997…

TIME DEMON
LES PRÊTRESSES DE L'ENFER



Alain Gerbaut
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