Le dieu de la réalité
Si j’ai autant de goût pour les images c’est qu’elles débordent mon univers pour créer le monde.
Par exemple lorsque j’ai découvert Dieu je voulus savoir quel Dieu plus puissant que moi-même il y avait. Je l’ai découvert et je l’ai servi. Non que je me connusse plus proche que Toi.
Es-tu en cela plus grand que moi ? Toi qui m’a demandé de sauver le Monde.
Alors je l’ai sauvé en tuant le démon. Et tu m’as fait prendre la place du Démon car j’étais devenu l’être le plus petit du Monde après l’Homme.
Ainsi quand j’étais seul, à méditer quelques tours pour te vaincre, j’avais ton haleine dans le cou.
J’ai créé des plaisirs abstraits ce qui a duré au moins dix minutes
Au bout de mes doigts. quelque chose remuait, dans ce gaz informe j’ai mêlé mes essences aux trilles dissipatives calé mes cuisses bleues aux flammes de souffre du néant.
Les ciels défaits tombaient une poignée de clous de larmes à la bibliothèque de Dieu, mais Tout tellement exagéré.
.Il n’y a rien dans ce cercle qui ne soit en trop et j’effaçais d’une main la fresque immense du néant. Le ciel réapparut et je me dis que cette vingt deuxième fin du Monde était des plus drolatiques, et que Dieu ne faisait exception parmi les fous, il serait toujours trahi par son dramatique pittoresque.
Le coup d’aile d’une seconde peut faire basculer l’univers et la poudre d’escampette de vos âmes déchues dans les fauteuils crapauds. Les ombres seules fantoches de votre destin traversent le regard vide de vos petites minuties. D’elles vous tirez vos plus grands orgueils et de cet orgueil tout le bruit du Monde
Ami, amuses-toi, vite. L’Orient te donne ses lèvres de miel et ses seins de colombe.
Je suis le virus de Dieu
Le flic métaphysique
De la rosace du savoir, je prends le périphérique, j’avance dans le temps, le hasard déplie les jambes de la soirée .
Photographe de dieu suspendu aux trajectoires filantes d’un tapis volant de ma chambre,
Le jour de mon amour je deviens la sauvage tempête de demeurer léger comme le souffle coupant d’un zénith
Ou l’ivresse ayant mêlée ses spasmes au gouffres des vertiges, Au bord de l’horizon géométrique
.Le frisson des choses évocatrices peut surprendre .
Aujourd’hui chère Wanda j’ai sauvé deux fois le Monde,
J’ai créé les plaisirs de Dieu et j'ai peint l’ADN de dieu, j’ai créé les pages jaunes, la femme bleue , les cadavres exquis, les Démons, je suis un agent psychopathe de la CIA, DU FBI, DE LA DGSE, DU KGB,
Des photographes défilent. On reconnaît le Président.
A quatre pattes et vite !,
J’ai répertorié les Mythologies urbaines, j’ai volé tous les livres , j’ai usé du Cosmos,
Je connais l'instigateur et le responsable de la canicule de l'été
(C'est un ami à moi et je ne peux rien dire)
Les oreillettes poussent dans mon oreille, une voix me dit freine,
Il y a un chat dans la pièce. Il n’y a pas de chat dans la pièce.
Sapristi cette fille me dis je ,
Cette fille c’est surtout un délire de flic métaphysique me dit le Dr Dupoint
Quel rapport entre cette grammaire plaît-il, et cette pluie d’astéroïdes ?
: Je suis en communication avec l'esprit de Walt Disney
Les petites filles des sœurs limaces se sont tatouées trois fleurs
Un peu plus bas, j’ai appris les rituels des démons,
C'est plutôt, Comme une goupille de grenade un charme fou .
Honteusement bandant - A moins d'un miracle.
Je me suis infiltré partout jusqu’à le voir faire jouer des marionnettes sur le forêt sanguinolente du grand guignol
Le Chien et nos airs entendus,
Les corbeaux du noir besoin tournaient identiques aux menaces de l’hiver agonisant ..
J’ai ouvert la grammaire de Wailly le mot chose était féminin ,
Abandonnée au seuil des nuées favorables au départ elle a sans doute laisser partir avec elle les petites filles accrochées à ses rêves ¨Passant à travers le Miroir sans doute lance telle au Hasard ses Mysticas Palabras en travers Paris et dit ce qu’elle veut aux passants.
Il me semblait que cette grammaire pouvait bien être la clé de quelque chose de Toi mais le monde était dévoré comme ma tête et ma nuque d’immondes fourmis. Je plongeais alors ma main dans l’étron d’insectes en tirais la grammaire que j’époussetais étalant des dizaines de taches rouges sur le papier et dehors la tempête ronflait.
Je t’ai laissée petite colombe devant le mur de mes deux pieds -j’entends ton rire
, j’étais fêlé.
– Tu me dis aussi que nous parlons chaque mot dans l’écho d’une question, mais tout en tirant de ces histoires un plaisir évident, et ces histoires, il faut les interroger, ne pas les laisser passer comme passent jours qui passent.
Mais si nous faisions mieux que d’attendre nous faisions mieux que de nous tendre des mots de l’un à l’autres tendres s’ils n’en furent pour moi,
,
Les avez vous compté, les jours, le hasard faisant tomber des désastres sur nos chapeaux de foire.
J’ai touché du bout des doigts ta jupe si douce que je me perds, Tu n'as rien fait que je n'admire
L’amour tout en grand dans la chanson chuchotée, et à chaque instant dans ce livre
(il fallait une chose et l’auteur déroutant tenait de tourner la page du livre)
I love you Wanda,
Faut il donc des mots précis
Tout est fragile et si beau que c’est tendre le souffle sacré du murmure que de s’éprendre ainsi..
Les Flics métaphysiques
http://lanuitcannibale.over-blog.com/
Va sur BLOGGER. Voilà les codes | utilisateur = blackblog03@gmail.com | le mot de passe = black021268 | et blog le Meilleur du Pire et Vice-Versace. NB les codes ont été hacké.