Pourquoi les types de Technikart, de Chronikart etc consorts nous révulsent au point que nous aimerions qu'ils se vautrent dans leurs propres excréments, qu'ils crèvent la gueule ouverte parce qu'ils seraient responsables de cette superficialité proto parisienne et auraient d'une certaine manière transformé les lieux de la capitale est une kermesse misanthropique, cynique et profondément cruelle ? C'est bien ce qui transpire de cette culture urbaine en réalité : le cynisme avec ce rire fluet derrière, roté avec une cruauté digne d'un personnage décadent qui mutilerait les rêves emprunt de naïveté d'une jeune pucelle peu apte a creuser dans cette superficialité justement. La peau du fruit sucré et un jus de désespoir, noirâtre, un liquide d'humiliation et de sainte déjection, la formidable illusion du divertissement libertin, preuve de la générosité diabolique et le châtiment.C'est de l'immaturité pure et dure, du romantisme tantôt Sadien, frelaté d'idées puisées dans les plus sinistres allées d'un libertinage déliquescent, une ode à la méchanceté, une gloire au moi dénudé et à sa déchéance honteuse et contagieuse, d'où la nécessité sauvage de fuir, de condamner et de conjurer les échec, les ratés, les obèses d'autrefois devenus anorexiques.De plus en plus nous les entendons se plaindre, délit de faciès, pourquoi sont-ils hais ? la guillotine qui semble revenir au galop, la révolution avide de coupables alors les illuminés Bobo, les nobles dégénérés, les nouveaux riches ultra beauf (beigbidi) et les drogués littéraires et verbeux, tout ce conglomérat organique de la petit fosse septique qui paiera les errements violents et vengeurs d'une société qui n'en veut plus. Normal, ils auront vendu du vent, des concepts frauduleux, des imposteurs, ils auront montrés des chemins mensongers, des directions fétides mais lumineuses aux jeunes génération , ils auront tant spéculé sur la fabrication de mythes qu'ils méritent une chasse à l'homme mémorable et une piscine remplie de leur sang.