>quand je dis que "pour moi, c'est évident", je parle en mon nom et cela s'appelle la >subjectivité.je ne parle pas au >nom des aborigènes, ni même au nom de mon voisin de >palier.
si on commence ici de discuter du probleme de la subjectivité, on tombe pile dans le regle de ce liste : masochisme extrème comme la seule principe liberateur d'un esclave.
Je n'ai pas parlé de la opinion "subjectif" et qui pense quoi de tel ou tel site de tel ou tel nartiste2merde (est-ce que j'ai dit que j'aime ce qui font VG ou TH ou CTGR ou que je n'aime pas... mais on s'en fou de ca!), j'ai dit simplement que net art (ou qqchose que s'appellle comme ça, je n'ai pas parlé de des "écrivains, des peintres, des cinéastes, etc." ) n'est pas loin d'art conceptuel où le language, le concept (ou un discours) de celui qui à crée "l'ouvre" a le même place comme l'ouvre lui même, il devient la partie integrale d'ouvre .
Encore,c'est pas une qualification "c'est bien" ou "c'est pas bien", ça existe et on doit être capable de le comprendre sans crier tout de suite: "ça me n'accroche pas!" etc. Si on rétire le 'discours' (about son projet) de th, il ne resterai pas grand chose de son "opus" - il, comme les autres nartistes parle, il se "justifie", explique, essye de creer un language propre, ses ouvres n'existent pas sans sa parole, sans exchange, sans reseau, sans contexte ...ils produisent une language (concept) propre et pas une tableau ou un livre. L'art concepteul a continué ce qui Duchamp a commencé. Net art a poussé encore plus loin : la"subjectivité" et la "individualité" devient les termes obsoletes - le discours d'un nartiste n'est même plus hors de la galerie comme les conceptualistes ont voulu sortir "art", il est dilué dans le reseau, il n'est plus ouvre ou discours d'une personne, il n'est jamais fixé et stable car il n'est pas ni un ouvre, ni un discours, mais une processus permanent . Createur n'est plus "moi" , mais "nobody", l'ouvre n'est plus un objet, mais subjectivité collective sans finalité, sans sujet.

>L'apparente rigueur affirmée de-ci de-là n'est que l'effet >d'un profond relâchement, de l'abandon d'un essentiel qu'est >de toute façon, la SOUVERAINETE DE L'ETRE.(Georges Bataille, >Méthode de Méditation, Oeuvres Complètes V, Gallimard, 1973, >p.196.)


Bataille a du dire ça dans un contexte precis qui probablement n'a rien avoir avec notre sujet. Et la rigueur d'une analyse était pour Bataille neccessaire.

Bon, allez, je me casse, soleil revient... hehehe, au moins on a un peu chatouillé les neurones de jan avec notre dialogue.

Chill out,M man :}
Infirmiere de la direction

P.S. Et oui, M, oublie stp les règles de ce liste qui sont tellement originales comme sont originals les regles de comportement dans un prison : le but de mon réponse n'était pas de t'humilier pour que tu me humilies encore plus. Autoflagellation libérateur c'est comme l'histoire d'avantages nombreux de la petite bite: un mythe d'esclave. Casser les règles de ce liste est plus jouissif que de s'automutiler.