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8.1.05

Juavid Kersancio : ancien de CANCERR ! lance son nouvel opus : "TÊTES D'AIL, GUEULES DE NAVETS"

"Avec une passionnante analyse des dernières glaires de Jean-Edern Hallier, menée d'un style impécarificateur par le sémillant Arnaud Le Gouern qui les conserve depuis des années dans de petites fioles hermétiques. On est saisi d'émotion à la lecture de cette vibrante nouvelle, qui à n'en pas douter va projeter son zozauteur au firmament zénistitique des Grands Stylistes du siècle.
Avec un flambouleux texte, aux outrances stylistiques révolutionnantes, d'un lyrisme exacervelé, d'une romantitude trouble, voire tachée, une ôde rédigée par David Guersan en hommage à sa muse et compagne, sa main droite. Un texte à la gloire du Beau Geste et de la solitude de l'Ecrivain.
Avec une implacable charge, menée au pas du poilu thaumaturgique, la baïonnette au poing et le style en bandouillère, un réquisitoire absolument totalifiant, virulaire, lapidesque, définitariste et ulternel, craché par Beudeuleu de la Mèche, cette mitraillette du Mot juste et du Postillon Qui Assassine. Tremblez feuillotaires des magazines branchés !
Avec une farce scapinesque, décapante satire de notre société contemporaine et de ses milieux artistiques, pondue par le dernier Artiste Français disposant du capital innocence nécessaire à la création du beau, le contempteur des Rampants, j'ai nommé Frédéric Pignale.
Et une incomparable analyse grammaticale de Bernanos, véritable révolution de la critique littéraire en même temps que de la poésie, un hymne sempistratique au Logos et à madame sa Mère, par votre serviteur, Juavid Kersancio, dit le Petit d'Espagne.
A genoux !!

Et pas un d'entre vous, scrofuleuses excrémentelles ampoulistées, ne saurait en faire autant !!
C'est dit !!

Mais qu'avez-vous donc écrit, vous, minuscarides rongeovidés, pour ainsi ignorer mes coriacées apostrophes et ma vespérsatile et soporarchante Écriture ? Qu'avez-vous produit, vous, pensionnaires des forums Technichronisubverkartpointcom, parasites de la bloguosphère, qu'avez-vous écrit qui vous permette ainsi de juger les trésors stylistiques et les généreuses idées des fiers défenseurs du Verbe dont je vous parle miséricodieusement ?????
Hors d'ici, tarentesques ubuzerbines !

Ooh, j'enrrage, oui j'enrrage, de lire ces impertinoltes et ridibulerses digressions infantiles à propos du blogue (car en Français messieurs, l'on écrit BLOGUE), que fort opportunément j'ouvris afin d'indiquer quelle était la prochaine tonitruelle publication de mon redoutable collectif individuel Cancerr ! Ce carnet virtuel auquel je confie les extravagordinaires réflexions que m'inspirent mes nombreuses et pénétrantes lectures, mes nombreuses et assouflissantes références, ma Kulture et l'Amour qui est le mien pour les fiers Logocrates, défenseurs de la Langue, de l'âme française, comme Dantec le sait, comme Bernanos l'a compris, comme Nabe l'a oublié, comme Proust au petit déjeuner et comme Bloy en soquettes, maréchal youhou je suis là.

Et chacun de mes Postillons est un tremblement de terre sémantique, un tsu..., disons une cataclysphique éruption linguistiquale, pour vous autres archifiacres empatentés, tremblants d'effroi devant l'impact littéraide de cette Importante Revue. Dont je suis, mes amis, dont je suis.

Je rris, je rris tant il est vrrai que nous autres amourasseux du Verbe, nous, véritables rénovateurs de la Littérature Française, fier sang frais du Logos français, courageux Don Qui Chiottes du Web littérasseux, nous les Barrique Trougnale, les Juavid Kersancio, les Beudeuleu de la Mèche, les Cariou du Lycée, nous autres grands amateurs de l'Indépassable Mot, NOUS écrivons, quand vous, pâles australopithèques hype, lecteurs de magazines en "kart", n'avez jamais rien écrit et n'écrirez JAMAIS JAMAIS JAMAIS RIEN DE GRAND.
C'est dit !!

Nos sensibilités vous dépassent, et en scrofies atrophidées, en pieutres astralents irrigulés, vous les homos refoulés à leur propre sort cruel, les déçus de ma sympathie, vous les abscuistres rodomulés, vous qui jamais n'avez ECRIT et jamais n'ECRIREZ, vous les frustris et les aigrés, vous n'aurez que notre méprain.
Je vous mépraigne.
Je vous mépraigne.

Plus d'une fois le forgeron sur le métier remet son ouvrage, et plusieurs lectures de mes atrabilantes contributritions à votre auge de porcs ne sont pas de trop, vous les flutistes de votre propre vacuitale.
Oh ! Comme je vous mépraigne.

Mais quoi ? Mais comment ? Mais qui ?
Moi qui consacre toute ma (jeune) vie à la défense des fiers Logocrates, et à l'éradestruction des Rampants, moi qui participe activement à l'éducafication de mes contemporaires, moi le fidèle commentapineur de l'immmense Bernanos, je daigne encore apparaître en ces funestes lieux, sur ces blogues vulgossiers et poiscailleux ?
Du caviar aux cochonailles, voilà ce que je donne, en fier cavaliero !

Que ne vous abandonnai-je, pachydermiques stupédiots, à votre douloureux sort, afin de rejoindre, dans l'extase du Verbe, le panthéon des Grandes Plumes que sont mes chers Barrique Pignale, le lyrique David Guersan, le trés chic Beudeuleu de la Mèche, ce cher Arnaud Le Gouern, et l'infatigable Cariou du Lycée ? Que ne montons-nous notre propre plateforme, pour rendre hommage au grand Michel, que ne montons-nous notre propre plateforme d'édition, afin que désormais le MONDE ne pluisse plus faire semblant de NE PAS ENTENDRE NOS VOCIFERATIONS CATACLYSMITRUANTES !!!!

Je vais lancer "l'E-déalistancer !!", première Revue Transgénique Agitatrice de l'E-monde Inter-littéraire Pour Adolescentes Incultes, avec pour unique but de se faire remarquer par je ne sais quelle maison d'édition bidon qui cherche son novo-réac du mois, quel que soit le crime stylistique que constitue chacun de ses paragraphes."

Juavid Kersancio, "Sécheresse et Suffisance", 2002, disponible sur tous les forums du web, malgré tout.

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Tous ces clowns sont l'expression d'une même frustration. Asencio, frustré de premier ordre, interminablement soporifique, horriblement mauvais scribouilleur de cave à vin, un clown triste qui prétendait tutoyer Bernanos et Steiner, Sabato, Boutang, Lem et Dick, qui se branle aujourd'hui sur Villa Vortex - soulagement qu'il n'eût pas imaginé si on ne lui en avait conseillé la lecture, soit dit en passant - et qui fait preuve d'une susceptibilité de pucelle et du langage ordurier d'un collégien scatologique dès qu'on raille l'absolu non-style et la sécheresse totale de ses laborieux kougloffs. Juan est une vieille blague récurrente, un filandreux imbécile qui croit servir la langue en convoquant ses plus vieillotes expressions, un pédant crétin qui ne fait qu'étaler son pitoyable ego en lieu et place de culture. Pas une phrase sans une citation : un écrit d'Asencio n'est qu'un commentaire de texte lycéen, un peu maquillé avec quelques outrances archaïco-faisandées de hussard à la con, et une pose de martyr grotesque.

Le prononcé de son nom suffisait à déclencher l'hilarité de tous, Juanito est une pompeuse brêle qui s'est fait ramoner du sphincter jusqu'à la glotte par tout ce que le web cultureux-branchouille compte de forums. Il est toujours désespérant de constater que pour certains, la multiplication des lectures n'apporte aucune transfiguration, aucun progrès intellectuel, aucun épanouissement stylistique, rien sinon une misérable pose de gardien du temple qui aurait fait hululer de rire ses modèles et références eux-mêmes. Un rapide parcours de son actuelle production (diable, je pensais qu'il était déjà mort écrasé sous les poids conjugués de son ego et de ses articles, citations au kilomètre et vomitive prose d'étudiant attardé, et voilà que je découvre un blog !) permet à n'importe qui de comprendre que ce gnome est une véritable plaisanterie, et l'un des contempteurs les plus objectivement acharnés du Logos dont il se veut promoteur, malgré lui sans doute. Bref, un impayable gag récurrent, au même titre que ses coreligionnaires merdaillons-du-web et englués-du-mot, ex-cancéristes et blondinettes "idéalistes", avec lesquels il échange alternativement serments d'allégeance, fellations verbeuses, et menaces de procès.
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