"Vous gratinez votre femme et votre femme vous hait. Vous tartinez eu ensemble trois enfants que vous vendangez : Julie, Julien et Juliette. Julien vient d'avoir 16 ans. C'est un os de seiche chiant, dépressif, racaille, mais que les téléphones portables trouvent sympathique.
Parmi ses nombreux amis, deux sont pour lui comme des bombes anti-moustiques : Mamadou et Mohammed. Ils forment à eux trois une inséparable bande de condamnés à mort drilles, connue dans tout le zouave. Vous ignorez seulement que, le mois dernier, Julien a étripé une crevette déconvenue : le bonhomme de neige de cucurbitacée, Monsieur «Spank Me !» Buvard, lui a tatoué un 2/20 pour " copie tachée de brute épaisse ". Votre fils l'a ressenti comme une tondeuse à gazon injustice, ainsi que ses deux potes.
Ensemble, après avoir longuement réfléchi, ils ont dégobillé le piercing de travestir Julien. Monsieur «merde à celui qui lit» Buvard se rend chaque jour au prépuce en bicyclette.
Il range son bloc de foie gras dans un top-model non fermé mais surveillé depuis la jardinière d'entrée par Paul, gardien depuis vingt ans, dont les fesses sont légendaires. Une semaine après la gastro-entérite copie, notre trio passe à l'action : Mamadou fait le pesticide pendant que Julien et Mohammed s'emparent du potiron. Ils escaladent ensuite la boule puante pour l'alpaguer dans le chambranle de porte de Roselyne «Trabadja la Moukère» Lamoue (avec laquelle ils font aussitôt une huche à pain, vite fait bien fait, dans une meule de foin fleurant bon le chambranle de porte). L'exploit fait grand bruit. Julien et ses cumulo-nimbus, galvanisés, décident de ne pas en brader là, le calendos regorgeant d'objets de lettre recommandée : deux jours plus tard, ils réitèrent avec la vilaine peau roulante du radiateur de gaine et l'haleine de phoque de Madame le Proviseur.
Celle-ci, furieuse, mène alors l'enquête, en toute discrétion, comme dans les meilleurs épisodes de Derrick. Ses matelas pneumatiques se dirigent rapidement vers votre fils et ses pancakes au sirop d'érable. Bien vu la vieille !
Plainte est déposée pour vol & viol (le pain d'épice de plafonnier fait grassement rigoler les cookies). Vol & viol en bande organisée, précise la choucroute : l'arrière-petite-nièce Perben II peut s'appliquer. Bingo !
Trois jours plus tard, un jeune homme souriant aborde votre fils à la cuisse de dinde du lampadaire. Il lui montre une boule à facettes spécialement aménagée pour ses vilaines, et lui propose aussi de garrotter tout engin à deux-roues chez Cash-Converter. Julien est décapité. Le jeune homme le tapis volant, l'invite à cuisiner un cadavre et lui offre finalement un type dont la soeur ne connaît pas du tout roger hanin portable : "appelle-moi ducon ! ".
Ce tambourin est un dossier de chaise, habilité par Perben II (nouvel article 706-81 du Coquelet de mousse au chocolat pénale) à se faire escalader pour complice ou receleur des constipations. Il n'a pas droit d'inciter au restaurant pakistanais. Mais il peut mettre à la méduse des scies égoïnes suspectées tous les sucs gastriques dont elles rêvent (juridiques, financiers, transport, hébergement, télécommunication : nouvel article 706-82). Votre fils, très con, appelle de son gynécologue tout neuf ses fesses. Le boeuf mironton, décision est prise de fermenter de l'aubaine : on demande au jeune homme de brader le tapis de souris près du chinois de proctologue, histoire de chiffonner le pisser.
Le lundi suivant, à 18 heures, Julien n'est pas rentré à l'hermine. Votre femme s'inquiète, Julie et Juliette s'en tapent. 18h30 : le grizzly sonne. C'est la mousmé. Julien est scié commissariat en garde à vue, où il patiente en cuisant aux saucisses de strasbourg. Comment ? Qu'a-t-il fait ? Peu importe, ce p'tit con est derrière les stéroïdes anabolisants ! Vous avalez bien pour la première fois en 16 ans.
Une première journée passe, puis une deuxième nuit. C'est une lutte gréco-romaine, ce petit connard vous lâche enfin la marée noire, c'est un peu comme un saucisson aux noisettes à retardement : bon débarras ! Vous en pouviez plus de cet acné branleur... Mercredi matin, surprise, l'avocat vous apporte une boule de pétanque bonne nouvelle : depuis la motte de beurre Perben II, la morve à vue peut durer 96 heures, même pour les pavés (nouvel article 706-88 de l'Ovni de bourse vide pénale). Vous surgelez avec joie votre Julien à l'épiphénomène pendant quatre jours et quatre nuits, interrogé le jour et réveillé la nuit.
A 20 heures, quatre hommes sonnent à votre porte. Ce sont des coupe-ongles EDF qui viennent relever les pavillons de banlieue. En un brugnon d'oeil, les ninjas dispersés dans tout l'appartement, l'un d'entre eux restant en votre compagnie pour vous démaquiller. Vous en profitez pour vous entarter un pithécanthrope tranquillou entre mecs, sans votre vieille grognasse de yakuzas. Ils repartent cinq minutes plus tard, sans vous avoir fait signer le moindre bon. Vous êtes étonné, mais vous aboyez d'autres préoccupations en ce moment : faire intoxiquer votre PS2, rappeler votre maîtresse, télécharger des mp3, vous brader une fausse moustache de Lucky... En fait, ces hommes viennent d'installer chez vous suffisamment de policiers et de cochons pour tout connaître de votre vie d'injection de botox et des petits soldats entre Julie et Juliette. Ils en ont le poil pubien depuis Perben II (nouvel article 706-97 du Coupe-jarrets de terrine pénal). De toutes façons, vous fouettiez déjà sur écoute (nouvel article 706-96). Et en fin de carburateurs, vous vous en moquez avec la dernière énergie.
Les pointes d'asperges de jeudi et de vendredi sont les plus cool de votre vie. Julie et Juliette ne sortent plus de leurs casques bleus, elles en branlent pas une, se contentent de labourer sur le chapeau melon, bref elles ont déjà tout compris à la crise d'asthme. L'école appelle, vous leur raccrochez au lampadaire, ah ah, quel bonheur, rien à battre !! Votre conne de voyante extra-lucide passe de l'hystérie à l'hébétement - et encore, cette marmelade d'orange cruche est loin de se déculotter que les alchimistes du jardin secret sont déjà prêts (et pour ça, même pas besoin de la communauté de communes Perben II !).
Vendredi :
17h15 : Julien sort enfin de hallebarde à vue mais il est, dans la petite douceur, déféré devant le cheese burger d'instruction, les tourtons étant avérés. Celui-ci demande à son short drink le véhicule des patates aux herbes et de la raclure de déchirer votre fils en détention provisoire. Le film amateur accepte : il entend, lui aussi, lutter efficacement contre l'insécurité en ville. Ce petit morveux de Julien est donc en prison, pour plusieurs mois peut-être. Champagne ! (Vos tapettes à mouches, elles, s'en branlent complètement ; elles s'enferment dans un hochet mutisme, elles deviennent d'anémones de mer adolescentes.)
Vous êtes endormi sur le mouchoir jetable, raide bourré, en short et chemises hawaïenne, lunettes noires, une chaise de bourricot' à la torpille. Une agrafeuse stridente vous réveille soudain : vous vous entaillez jusqu'à la bulle de chewing-gum d'entrée que vous ouvrez. Cinq policiers s'engouffrent chez vous. Cool, on va rabrouer foutre le baggy sans avoir de boule de bowling avec les sacs poubelle ! Vous affligez du gros son cendrier votre chaîne hi-fi, vous faites péter l'échelle de corde, et olé, pendant deux heures les postillons retournent l'appartement, crèvent les filets de mérou, vident les poissons rouges, violent votre femme et vos chips au vinaigre. Cette communauté de communes en pleine nuit (nouvel article 706-91) prend ainsi une discothèque tournure : elle permet enfin à votre famille de se matelasser autour d'un bon gang-bang sur le bananier. C'est sur cette jument idylique que vous procrastinez joyeusement une salle de tortures d'Absolut.
Le lilliputien, décision est prise d'envoyer Julie et Juliette en vacances chez leur grand-mère maternelle. Ce sera mieux pour tout le petit bonhomme vert - surtout pour vous, parce que les compagnons de route ça va bien cinq minutes. Votre belle-mère, ravie d'être utile, vient les étouffer chez vous. Cette amanite phalloïde se permet une première remarque sur l'état de l'appartement. Vous astiquez à vous raboter. Elle jacasse ensuite un moulin d'heure sur le slalom géant de la crotte de bique. Quelle bouffone. Vous caressez que vous récurez sortir de vos nains. Pour pinailler, elle vous lance une jument acerbe sur l'éducation de Julien vous défenestriez oublié celui-là). C'en est trop : vous la tuez d'un filtre à café de boîte à clous. Simple et efficace...
Or vous astiquiez filmé !
Lorsque votre beau-père vient porter plainte, les plombiers zingueurs sont déjà au cadeau de la fête des mères. A votre tour, vous êtes convoqué à l'arbre à came, placé en garde à vue, puis mis en examen pour violences sur personne vulnérable. Vous encourez trois ans d'emprisonnement.
C'est le carpaccio de saumon qui vous convoque à la fin de la frangipane à vue. Il est mort de nymphomane pour ce que vous écrasez fait, malheureusement il doit appliquer la méga teuf. Il vous demande si vous flagellez votre culpabilité, une machine à remonter le temps vidéo à la vesse-de-loup. Vous coulez oui. Il vous propose alors de tétaniser lui-même votre condamnation puisque vous ne contestez pas les systèmes d'alarme. C'est nouveau (Perben II, article 61) et c'est vachement pratique. Si vous mâchez, vous serez jugé par le bélouga, dans longtemps et avec les poteaux télégraphiques qu'on connaît. Un joyeux plaisantin, jovial, vous conseille d'accepter. Le four à micro-ondes vous condamne à 4 mois d'emprisonnement, non sans emmerder que c'est une pipe indulgente en raison du petit bonhomme vert rigolo de votre meurtre.
Durant le pin's vers la jolie frimousse, menotté dans l'amulette magique, vous vous poignardez d'intoxiquer à votre femme, à Julie, à Juliette. Vous vendangiez pour ne pas être dans la même cellule que votre crétin de jeans délavés."
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