Définition extraite du Petit Robert des Cons Propres :

S.B.A.A.L.D. : terme apparu en France pour la première fois en 2004. Le courant Sbaaldien a ceci de spécifique et jusque là iamais inégalé par toute autre courant artistico-littéraire, qu’il ne suit pas de chef de file/Idéaux politiques/Jean-Paul Gautier, mais tournoie comme un maelstrom autour d’un symbole phallique. Le courant Sbaaldien s’appuie sur la masturbation d’idées philosophiques/etc./etc. mais, une fois atteint un certain stade de gavage, il choisit d’accoucher/éjaculer, ce que l’on appelle étape ultime/ phase jubilatoire du courant Sbaaldien.

Le courant Sbaaldien prône en effet une ingurgitation massive d’éléments réflexifs nourrissants pour en fait mieux prendre de l’élan, AFIN DE S’ENVOLER et de passer au Nirvana de la Pensée : LA VIE*. La vie (joie, émotions, pleurs, rires) est l’essence du courant Sbaaldien (c’est pour cette même raison que, plutôt que de se masturber le cerveau pendant des mois/jours/années/siècles, il choisit de se décontracter les hémisphères, c’est à dire d’éjaculer).

Encore une fois en chœur : S.e B.ranler A.ide À. L.a D.ucontraction !

*Think S.B.A.A.L.D.* instead of *think BAD !*
YO !
S.B.A.A.L.D.*, c’est de la balle !
MOTHERFUCKA !

* Copulright : S.B.A.A.L.D.