Va sur BLOGGER. Voilà les codes | utilisateur = blackblog03@gmail.com | le mot de passe = black021268 | et blog le Meilleur du Pire et Vice-Versace. NB les codes ont été hacké.


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12.3.08

POST-REPORT PERVERS(e) NARCISSIQUE(S)

Ou comment j'suis devenue accro O micro et retrouvé la vue...

C'était pas évident vu le nombre de nominés mais mon héros gagnant d'hier soir est * raclement de gorge * Chictype (le bien-nommé) - qui m'a rendu la vue.
Mes Rayban de vue (et ouaih, ça se la pète des lunettes).
Pour l'heure, je me post-it mes Aviators Noires
sur le nez et j'attaque PROUSTement les quatre derniers jours qui étaient vraiment CHARGéS ( oui, y'a un jeu de mot, je vous laisse deviner à quoi, mais en gros un peu à tout...).

Un bout de puzzle dans la poche et je file à la pêche aux souvenirs ethylés en essayant de faire un bon mel'.

1er cocktail samedi, je m'ambiance avec une galoche (ça tombe bien, hier soir c'était aussi le revival du DERNIER PALOT).
Deb' me fait gouter sa langue à son vernis privée qu'on aurait jamais du quitter. Au lieu de ça, on est parti crever à la Java. Enfin devant La Java - parce que soit dit en passant MORT à mortauxjeunes ! T'étais où MycroftEtienne pendant que la physio au poireau jouissait dans son coton XL à faire poireauter les poivrots et nous refusais l'entrée à Chictype, T.h.ierry et moi ? Remarque, quand 3 pros du gatecrash rentrent pas quelque part, c'est que quelque part ils sont moyen motivés...
Du coup, on a levé un guitariste cubain Rue Saint-Maur (recroisé avant-hier devant le cercle Pan!) pour un concert privé avant d'aller jouer à Jules&Jim dans le plumard de Chictype. Sagement. Y'a que T.h qu'était à poil. Comme d'hab quoi.
Faut croire qu'à un moment dont je me souviens plus j'y ai laissé mes up-nommées lunettes.

Hier, ceux qui sont venus m'ont trouvé un peu achevée par ma toose d'avant-hier avec un ancien PCR (Plan Cul Régulier pour les intimes). J'entends déjà le Crevard qui proteste. Ouaih, je pense encore que perso c'est tease et tise only. La toose c'est No Thanks-No Sex. Les corps froissés, usés, laids, mous qui se cognent et se répandent découragent ma libido d'esthète. Mais là c'était différent : On étaient jeunes et beaux.
1 Argentin (from Bombay) + 1 Espagnole (from Barcelone) + 1 Péruvien (from Berlin) + 1 Kabyle (from Paname).
J'ramène donc les 22 centimètres de mon gode latino (une vrai minette, il parle toujours trop mais bien qu'il ait perdu 10 kilos à abuser des acides à GOA, il a toujours de belles fesses).
J'embarque aussi l'ancien PCR de ma copine Nanis -et de ma copine Dédé aussi... Un mec toujours près à rendre service et bien classé dans notre home-made guide des Meilleurs Coups de Paris (mis en place pour éviter d'avoir trop de noms à mettre dans l'onglet des bande-mous-à-éviter...).
Il a surtout cette superbe nana, Mylena de Barca. Une jolie petite prune charnue. J'en tombe un peu amoureuse et je lui arrache son TENGA après avoir vidé mon bar en chantant du MOLOTOV à plein poumons.
Avant de les mettre dehors et filer à mon rencard au 96, on soigne notre cuite au thé tous-à-poil à se mettre des claques sur les fesses et se reluquer les tatouages. On voit l'topo, ça sent presque la chicorée comme un spot de pub qu'on aimerait voir à la TéVé : de vrais putes d'HiIPPIES-PUNK (rigolez, rigolez, mais moi j'ai pas l'expression "aristopunk" à la bouche sans en être écœuré. Difficile de faire plus antinomique que "CA"...).

Je suis un peu à la bourre, mais je me marre en trouvant sur ma porte un mot de ma voisine qui me demandent de
moins pousser sur la musique jusqu'à 3 h du mat' et de gémir piano quand je fais des clash de baises dans mes casas. Tsss FRUSTRéE...

J'arrive pas trop à la bourre, en fait.

Les perfs du CREVARD déchirent. Putain de Poète.
Eh (mon) Crevard, sois sympa avec le ptit orgueil de la BLASéE. J'ai l'ego bien au dessus de la jalousie mais l'assimilation avec des blondes pas fraiches, c'est archipas flatteur pour WAM. Comment disait Delphine-Bunny ? Un "jaune d'oeuf tourné" ? Ou c'était peut-être moi... Bref, du Jus de Stine passe encore mais évite la bave de crapaute.
Foutu PERVERS NARCISSIQUE !
A la fin du good show de Jérome, l'Antévierge de moi prête sa voix à la licorne écornée-Cheval Blanc.
Descendue de l'estrade, une nana me dit que je lui rappelle la grande époque de Brigitte Fontaine - c'est faux- mais je suis touchée. Même si on jouit pas, c'est quand même toujours agréable de se faire sucker.
Un Ennuyeur Public croit drôle de me draguer en me disant qu'il est "assureur de voix". RI-DI-CU-LE. Je l'envoie se chercher ailleurs -un métier avec "assureur" sur la carte est forcément anticool, CRéTIN, va plutôt faire mouiller de la ménagère !
Jérôme me dit qu'il a de bons échos (-j'étais si aboMINABLE?!-) et qu'il me réinvitera... Argh ! Je jubile comme une ado, ça m'avait manqué la scène et j'suis déjà ACCRO au MICRO.

La Licorne et moi sautons dans un taxi direction la Terrible After des Katacombes de Kata le Jazzycat. On embarque Thomas, qui a tout l'air de sortir de la rédac de Rock&Folk.
Kata le Jazzycat nous fait la cuisine, vide son bar dans nos pentus gosiers et a une Pire Playlist. Il file bientôt se coucher et c'est là que l'After Terrible devient terriblement terrible et bientôt terrifiante.
La Licorne a encore trop picolé et se met à casser
-des trucs
-sa gueule
-les yeuks
Je craque après lui avoir demandé pour la Xième fois de la fermer alors qu'il pisse a côté des chiottes la porte grande ouverte en bavant sur sa liquette et je lui POSE un PAIN. Il aime pas trop MON poing dans SA gueule et vient me rendre une GIFLE. Normal. Je lui colle une BAFFE dans l'oreille *AIE* et on fait la PAIX -il a promis d'être SAGE.
Thomas et moi on finit par réussir à le coucher pour jouer aux amoureux (les yeux grands ouverts dans le noir à chercher mutuellement un peu de lumière dans les yeux de l'autre) mais ça dure pas. En plus de prendre tout le plaid, il se met à hurler comme un possédé qu'il est un PUTAIN DE DIEU VIVANT.
Foutu PERVERS NARCISSIQUE again...
Les hennissements réveillent Kata le Jazzycat qui sort en furie de sa tanière et traine Cheval qui rue et se cabre par le pied. Non content d'avoir fait de l'apart une écurie, Cheval refuse de se faire éjecter du paddock et menace de défoncer la porte.
Y'a deux heures Kata me ronronnait dans l'oreille, faut le voir maintenant rugir comme un lion...
Après, c'est trou noir pour moi, je me roule en boule comme une névrosée. Ca me rappelle mes parents se mettant sur la gueule et c'est TRAUMA. Je sombre dans un sommeil coma-somatique avant même la fin de la baston.
Cheval est TRICARD à VIE chez Kata le Jazzycat et Thomas est parti jouer les nounous.
Ou plutôt les infirmières, en me tirant de l'apart au matin, je trouve du sang devant la porte et sur les murs du couloir. L'angoisse.

C'est un peu dangereux le gonzo, quand même. Après les blessures de guère (costales), c'est la guerre ouverte à la tranchée quand t'essaies juste de t'pieuter. Une prime de risque, c'est possible ?

P-S : Pour finir sur les roulages de pelles, un truc m'a rendu le sourire dans le métro : l'affiche du prochain concert de KISS !
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