Un samedi glacial. Le premier de l'année 2004. Sur les traces parisiennes du poète-boxeur Arthur Cravan. Laurence Remila (Parisianism for beginners) n'a pas préparé son texte. "J'ai oublié les poèmes de Cravan et les piles du MD. " Mais on s'en fout, il y a quelque chose dans l'air, un je-ne-sais-quoi... On finit à la Closerie où les lilas hibernent. Un pianiste au sourire permanent joue des rengaines. En partant, j'oublie sur la table du café la revue de Laurence. " Par moments, je voudrais voir les mères laisser tomber leurs bébés." (Arthur Cravan) JLB sur
POST-REPORT