6.1.04

La rue Louise Weiss... hum... petit programme à dégager de votre système mental car, à part si vous voulez faire carrière dans l'art contemporain (c.a.d : y croire à mort comme un plâtrier payé au black qui retape l'appart rive gauche du mégabobo (car une galerie d'art c'est cela dans le fond) pour ensuite bosser comme pion didactique dans les salles blanches de l'institution matricielle tout en suckant après l'usine ceux qui sont à la ramasse pour adapter le week-end votre antiforme aux cases existantes c'est inutile d'y aller (pfff...longue tirade2merde çà...) : jamais d'OB ! Les visiteurs passent comme des bies-Zom sous tranxène dans une impasse de Rancoon City, à la limite si vous avez vraiment besoin de compagnie, zappez les caisses déballées et allez directement aux différentes brasseries pour boire des demis au bar et pécho un(e) jeune artiste provincial(e) et encore, cette charmante personne va vous faire chier comme ce n'est pas permis avec l'intégrale Sophie Calle qui sera, elle, dans le fond du commerce en train de gaver Jean-Max Collard pour pouvoir en placer une dans Culturama. (ounch ! j'arrive pas à faire bref !!!). BREF ce petit monde est MORT, figé. Les (en)jeux de la condition immédiatiste mondaine sont ailleurs*.